New les lendemains poetiques (tw2fv5) 04/03/2004 23:17 |
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C'est pas le chaos social dans lequel nous plongeons qui va nous passer l'envie de nous ennivrer jusqu'a ne plus savoir le prénom de notre chien, car il est vrai que la boisson devient par moment une béquille qui nous redressent, qui nous soutien , qui nous errige aux sommets d'un pseudo bonheur , d'une legereté de l'esprit qui nous aimons tant. Putain l'heure est grave les amis, pourtant on arrive toujours a trouver un petit moment de bonheur grace aux brevages distillés mais aussi grace au bmx ,aux filles qui nous seduisent tant et que nous ne pouvons ignorées ,aux arts qui nous ouvrent sur le monde ,aux les voyages , aux rencontres etc etc En gros si tu veut t'en sortir dans ce systeme vaut mieux adopter l'ideologie hédoniste tout en sachant s'ouvrir sur les autres en attendant que les choses changent (si elles changeront un jour !!??!!) Et moi en attendant je m'ouvre une énieme 8.6 et je me delecte de ce brevage en me disant que tout cette philosophie de pacotile que je vien vomir sur choco n'est que de la masturbation ,et que je ferrai mieu de practice les bus sur un bout de trottoir accompagné de l'esprit de la rue plutot que de me decollé la retine sur un ecran de pc qui crache des couleurs trop saillantes pour mes yeux anormalements rouges. Allez les gadjos je vous souhaite une bonne nuit et vous laisse en compagnie d'un joli texte qui decrit a merveille les sensations d'un lendemain matin poetique autrement dit celui ou ta un mal de crane a faire palir l'inventeur de l'aspirine. Le soleil revient à sa place Je rassemble les morceaux d’ma tête Ma tête qui flotte à la surface Du lendemain de cette fête Au comptoir d’une aurore bancale Je trinque à la santé d’personne Une goutte de rosée matinale Elle gifle ma gorge, je frissonne J’ai froid et je n’en mène pas large Dans ma chemise de nuit blanche Ses batailles et ses dérapages Et le rouge à lèvres sur ma manche J’ai déchiré ma mémoire Ma gueule, une photo de toi Ma langue souillée dans la débauche Patauge dans une écume pâteuse Et l’arrière-goût qui la chevauche Empeste mon haleine brumeuse De mon sexe vagabond L’odeur de celui d’une femme S’échappe en un parfum brouillon Je pisse contre un mur de Paname J’ai encore couché au hasard De l’autre côté de la frontière Entre le rêve et le cauchemar Avec une chatte de gouttière J’ai déchiré ma mémoire Ma gueule, une photo de toi Elle traîne sur le trottoir Le balayeur balayera J’ai traversé tout Paris Mes mains lourdes comme des valises Et la porte de Choisy S’ouvre sur une banlieue grise Boulevard de Stalingrad, Vitry Ma tanière grogne là-bas Plus que trois étages et mon lit Mon vieux berceau de gueule de bois J’croise le facteur au rez-de-chaussée J’lui dis bonsoir, il m’dit bonjour J’lui demande s’il y a du courrier Le courrier j’y pense toujours La rue ketanou---j'ai déchirer ma mémoire |
New Re: les lendemains poetiques (DSGS) 04/03/2004 23:35 |
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Verdicte du Docteur Seb Good (aka Sybian) Incertain dans le style mais d'une grande sincérité ! Quand tu parles de chaos social, tu crois pas si bien dire, s'en est effrayant (guette mon prochain sujet !) Ami poète du soir je vous dis bonsoir ! Euh taf les Bus plutôt ! ![]() |
New Re: les lendemains poetiques (KTLT) 05/03/2004 14:00 |
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ca me rappel un bon souvenir ce texte gros recopieur !!!!! Ah tu te demande ske je fou sur le site d'urielLE CRAKOVULE celle ki é bien roulée ... |